• Entendu sur une radio à propos de l'affaire de la "Une" de Libé =

    Lorsque l'on traite un type de "pauv'con" ce qui en ressort c'est qu'il est vraiment con.

    Alors que, lorsqu'on traite un type de "rich'con" ce qui en ressort c'est qu'il est vraiment riche ! 

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    Salut Baptiste ! C’est qui qui gouverne ?

    -       Quelquefois c’est quelqu’un d’autre… Les élus n’osent pas avouer leur impuissance, certes, c’est douloureux de quitter son piédestal, et pourtant ? Après l’arrivée en haut des marches, entre deux coupes de champagnes au cours des diverses réceptions qui s’enchaînent, là où les félicitations et les bravos font tourner la tête aussi vite que les bulles de cristal ingurgitées, on mesure vite la difficulté d’imposer la moindre contrainte à ceux qui du haut de leurs pactoles toisent le peuple et leurs élus. « Si tu me touches, je file à l’étranger ! ». Souvent cette simple menace suffit à modifier le cours des choses et à faire plier les intentions annoncées à grands renforts de discours enflammés devant des salles en liesse.

    -       Et alors ?

    -       On peut alors se poser la question : C’est « kika » le pouvoir ? Et comme on le sait, très souvent il n’est pas là où on le croit !

    -       Oui mais s’ils s’en vont à l’étranger.

    -       T’inquiète, tout cela c’est de la gesticulation… Ils y sont déjà. On a déjà vu l’équipe de France de tennis au grand complet, ridiculisée par des intervieweurs la qualifiant d’équipe de Suisse, puisqu’ils y habitent tous. La liste des vedettes du showbiz expatriés, dont quelques représentants viennent de temps à autre nous enfariner sur les plateaux télés en nous expliquant comment sauver le monde qu’ils continue de saigner, est fort connue et d’une longueur impressionnante ! Les footballeurs sont également tous partis depuis longtemps, et quoi qu’il en soit ils ont trouvé la formule de faire payer leurs impôts par leurs employeurs.

    -       Cette dernière formule est intéressante. La voilà LA solution ! Si chacun fait payer son impôt par son employeur kiki va s’en plaindre ?

    -       Cela me rappelle la célèbre phrase de Pierre Dac : « Quand on ne travaillera pas les lendemains des jours de repos, la fatigue sera vaincue ! »

     

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  • Salut Baptiste ! On dit que les riches quitteraient la France pour payer moins d’impôts ?

    -       Comment ? Ce n’est pas possible ! Nous vivons en « mondialisation » nous dit-on. Le commerce, les échanges, les finances, tout se fait avec les partenaires du monde entier. Si nous vivons sous un régime de mondialisation cela implique que les salariés soient payés partout au même niveau, que les impôts soient équivalents d’un pays à l’autre et que les paradis fiscaux soient supprimés.

    -       Tu y crois ?

    -       ………. ? Ainsi il n’y aurait aucun intérêt à fuir à l’étranger. Sinon c’est : « je produis en chine parce que l’ouvrier est moins cher, je vends en Europe parce que les clients ont encore des sous, je ne paie pas d’impôts car je cache tout à Monaco, etc… etc… Et je ne participe pas aux investissements mais je profite de tout… Belle mentalité !

    -       Et pour Bernard Arnault ?

    -       C’est un chic type qui sera fier de participer, à la hauteur qui est la sienne, au bon fonctionnement de la France en acceptant volontiers de payer des impôts au niveau qu’il mérite.

    -       ……… ?

    -       Il sera content ensuite de montrer, à tous ses nombreux amis, une France belle et florissante dont l’épanouissement sera le fruit de sa contribution.

    -       …….. ?

    -       Personnellement, lorsque j’emprunterai une belle voie routière où que je serai bien soigné dans un bel hôpital, je dirai tout bas : « merci Bernard » !

     http://www.francetvinfo.fr/le-milliardaire-bernard-arnault-demande-la-nationalite-belge_138289.html

    Un billet intéressant ici :

    http://pied-alwett.over-blog.com/article-casse-toi-pov-con-109922926.html

     

     

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  • L’amour est passé près de vous

    Le Fiacre

     

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    Salut Baptiste ! La rentrée n’est pas loin… On peut encore en parler…

    -       Oui et après la dictée, j’aimerais aborder la conjugaison, Si on veut mettre le paquet et frapper fort n’hésitons pas, attaquons nous tout de suite au subjonctif.

    -       Ce n’est pas trop ?

    -       Pas du tout, surtout lorsqu’il est imparfait… C’est un vrai délice. Je ne résiste pas au plaisir de remettre ce texte en ligne, je ne me lasse pas de le relire de temps en temps.

    -       « Docteur, ma femme est clouée au lit, je souhaiterais que vous la vissiez », écrivait mon préféré en la matière Alphonse Allais. 

    Il composa une complainte amoureuse, capable d’affronter tous les temps !

    L’érotisme torride, des vers qui suivent, aurait été capable d’émouvoir même une agrégée de grammaire.

      

    Oui, dès l’instant où je vous vis,

    Beauté féroce, vous me plûtes ;

    De l’amour qu’en vos yeux je pris,

    Sur-le-champ vous vous aperçûtes.

    Mais de quel air froid vous reçûtes

    Tous les soins que pour vous je pris !

    Combien de soupirs je rendis !

    De quelle cruauté vous fûtes !

    Et quel profond dédain vous eûtes

    Pour les vœux que je vous offris !

    En vain, je priai, je gémis,

    Dans votre dureté vous sûtes

    Mépriser tout ce que je fis ;

    Même un jour je vous écrivis

    Un billet tendre que vous lûtes

    Et je ne sais comment vous pûtes,

    De sang-froid voir ce je mis.

    Ah ! Fallait-il que je vous visse,

    Fallait-il que vous me plussiez,

    Qu’ingénument je vous le disse

    Qu’avec orgueil vous vous tussiez ;

    Fallait-il que je vous aimasse

    Que vous me désespérassiez

    Et qu’en vain je m’opiniâtrasse

    Et que je vous idolâtrasse

    Pour que vous m’assassinassiez !

     

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  • Le Truxor ? Un sacré dragueur !

    Un engin de conception suédoise, avec lequel une entreprise de la région parisienne nettoyait un des lacs du « Bois de Bordeaux » en cette belle journée de rentrée (04.09.2012).

    Pouvant être équipé de divers accessoires et appareillages (voir vidéo en fin de sujet), le Truxor est ici utilisé pour débarrasser cette eau stagnante de diverses algues ou immondices…

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    Mini croisière en Truxor ?

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    Mini croisière ?

    Mini croisière en Truxor ?

    -Mini croisière en Truxor ?

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    Mini croisière en Truxor ?

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  • Salut Baptiste ! Alors ? C’est la rentrée ?

    -       Et oui… Un an de plus… Car c’est bien souvent à ce moment de la rentrée que le sentiment de tourner la page se fixe dans les esprits, sans doute  plus qu'à l'échéance du 1er janvier.

    -       C’est effectivement mon cas.

    -       Nous avons tous une pensée émue pour nos anciens profs, nos instits qui nous ont appris à lire et nous ont éduqués, et aussi bien sûr pour nos souvenirs d’enfance et de cours d’écoles…

    -       Un peu d’émotion c’est vrai en nous remémorant quelques pensées savoureuses ou des rencontres inoubliables.

    -       Aussi, pour ne pas sombrer dans la facilité, frappons fort en ce premier jour, voici une dictée propre à décourager les plus érudits.

    -       Bonne rentrée.

     

    La dictée faisait partie des passe-temps de la cour de l'empereur Napoléon III. Mythe ou réalité, la dictée attribuée à Mérimée a mis à l'épreuve les souverains ainsi que leurs invités. Napoléon III commit 75 fautes, l'impératrice Eugénie, 62, Alexandre Dumas fils, 24. Seul un étranger, le prince de Metternich, ambassadeur d'Autriche, n'en fit que 3. Voici le texte de "la fameuse dictée" publiée par Léo Claretie en 1900.

    Pour parler sans ambiguïté, ce dîner à Sainte-Adresse, près du Havre, malgré les effluves embaumés de la mer, malgré les vins de très bons crus, les cuisseaux de veau et les cuissots de chevreuil prodigués par l'amphitryon, fut un vrai guêpier.

    Quelles que soient et quelque exiguës qu'aient pu paraître, à côté de la somme due, les arrhes qu'étaient censés avoir données la douairière et le marguillier, il était infâme d'en vouloir pour cela à ces fusiliers jumeaux et mal bâtis et de leur infliger une raclée alors qu'ils ne songeaient qu'à prendre des rafraîchissements avec leurs coreligionnaires.

    Quoi qu'il en soit, c'est bien à tort que la douairière, par un contresens exorbitant, s'est laissé entraîner à prendre un râteau et qu'elle s'est crue obligée de frapper l'exigeant marguillier sur son omoplate vieillie.

    Deux alvéoles furent brisés, une dysenterie se déclara, suivie d'une phtisie.

    « Par saint Martin, quelle hémorragie ! » s'écria ce bélître. À cet événement, saisissant son goupillon, ridicule excédent de bagage, il la poursuivit dans l'église tout entière.

    (Prosper Mérimée -  1803 – 1870)

     

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    Un texte qui met bien en exergue la difficulté qu’il y a parfois à exercer un métier, dont les contraintes ou la philosophie ne satisfont pas la conscience, mais nécessité oblige !

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