Pourquoi le Tour de France ne m’intéresse-t-il si peu depuis quelques années ? Je me pose cette question car il me semble que l’intérêt pour cette épreuve populaire s’est érodé depuis… Depuis quand au fait ?

Peut-être que le Tour en a pris un coup - à mes yeux - depuis l’affaire Festina en 1998 ? Il me semble que le scandale du dopage, longtemps sous-jacent, dévoilé au grand jour dans un jeu de dupes, a mis un coup de frein brutal à l’attrait que j’avais pour ces champions.

Cependant, lorsque je pousse la réflexion, il me semble que la façon dont a évolué le tracé et l’organisation des étapes a fait germer dans mon esprit l’idée qu’il s’agirait d’une série d’épreuves consécutives et non plus d’un véritable Tour de France. En effet, si l’épreuve se devait d’évoluer en sortant du traditionnel « chemin de ronde » pour sillonner le centre du pays et intéresser « toute » la France pourquoi truffer le circuit de sauts en avion ?

Pourquoi ne pas privilégier le principe de véritables étapes avec installation des coureurs sur place et départ le lendemain de cette même ville ? J’ai vu des arrivées du Tour qui, dans les minutes suivant le pointage de la voiture balai, laissaient place nette comme s’il ne s’était rien passé. Une fois les images enregistrées par les caméras, le bouquet remis et le quart Perrier avalé, tout est nettoyé. Alors que dans ma mémoire d’ado je revois la fête qui perdure jusqu’au milieu de la nuit et le rassemblement des coureurs au cours de la matinée pour un nouveau départ. Il faut innover, certes, mais pas pour faire n’importe quoi. Le fait de modifier ce qui existe ne signifie pas systématiquement que c’est mieux ! Qu’est-ce qui permet de penser que le départ précipité de la ville « arrivée » pour rejoindre dare-dare les hôtels ailleurs… Où l’ambiance Tour de France n’a pas encore pu se développer alors que l’on éteint à la hâte l’ambiance de l’arrivée à peine montée en puissance.

Peut-être en viendrons-nous à l’avenir à un Tour de France virtuel auquel nous pourrons directement participer en payant un supplément sur le forfait du FAI.

Réalisé par Costa-gavras

Avec Gad Elmaleh, Gabriel Byrne, Natacha Régnier, Céline Sallette, Liya Kebede, Hippolyte Girardot, Bernard Le Coq, Daniel Mesguich

Tous publics. Durée : 1h53. - Genre : Drame - Sortie nationale le 14/11/2012

Synopsis

Marc Tourneuil est un petit valet polytechnicien, travailleur, cultivé, séduisant et surtout, manipulable. Du moins, c'est ce que pensent les membres du conseil d'administration de Phoenix, la plus grande banque européenne, lorsqu'il leur faut, au plus vite, trouver un pantin pour remplacer le PDG. Mais ils ont bien tort de prendre Tourneuil pour un guignol...

La bande annonce du film mêlée au commentaire de Costa-Gavras :

Clic sur la caméra !

 Que se passe-t-il après la mort ?

Une situation d’avenir assez méconnue expliquée par le docteur Jean-Jacques Charbonier :

http://jean-jacques.charbonier.fr/v2/qui-suis-je.htm

Il a été interviewé par Philippe Bouvard le 1^er mars 2012, l'enregistrement sur ce lien : 
 

http://www.rtl.fr/emission/les-grosses-tetes/ecouter/les-grosses-tetes-les-30-secondes-chrono-du-01-03-2012-7744746887

    Il a écrit un livre : Ce livre est accessible, à la FNAC entre autres, pour 17 € .

Salut Baptiste ! A l’approche de difficultés pour beaucoup, il n’est sans doute pas inutile de rappeler cette histoire de café et de tasses.

-      Un peu comme aurait dit Coluche : « si vous avez besoin d’une augmentation venez me voir je vous expliquerai comment vous en passer… »

-      Bien sûr, mais ce n’est pas tout à fait la même chose.

-      En effet, ici le professeur explique comment profiter pleinement de la vie sans se rendre triste pour ce que l’on n’atteindra jamais et qui plus est, dont nous n’avons nullement besoin.  

« Les gens les plus heureux n'ont pas le meilleur de tout... mais ils tirent le meilleur de tout ce qu'ils ont... » Donc vivons simplement !

Un groupe d'anciens d’une université, jouissant tous d'une très bonne situation dans leur carrière, se réunissent pour rendre visite à l’un de leurs professeurs de l’époque. La conversation tourne rapidement à la plainte de chacun concernant le stress sans fin du travail et de la vie en général...

Offrant du café à ses invités, le professeur va dans la cuisine et revient avec une grande cafetière et un assortiment éclectique de tasses en porcelaine, en plastique, en verre, en cristal. Certaines basiques, d’autres de plus grande valeur, d’autres enfin extrêmement raffinées. D'un geste, il les invite à se servir une bonne tasse de café.

Lorsque chacun de ses anciens étudiants a une tasse de café en mains, le vieux professeur s'éclaircit doucement la gorge et patiemment commence à s'adresser à l’assemblée... « Vous avez peut-être remarqué que toutes les plus belles tasses sont parties en premier, laissant de côté les plus basiques et les meilleurs marchés. Alors qu’il est simplement naturel pour vous de vouloir la meilleure, c’est en réalité la source de la plupart de vos problèmes de stress »

Il poursuit : « Soyez certains que la tasse en elle-même n’ajoute aucune qualité au café. En fait, la tasse ne fait que déguiser et revêtir ce que nous buvons. Ce que chacun de vous voulait vraiment, c’était du café, pas une tasse, mais vous avez instinctivement choisi la meilleure tasse... puis vous avez commencé à regarder du coin de l’œil les tasses des autres... »

« Considérez maintenant la chose suivante : la vie, c’est du café. Le travail, l'argent, et le statut social ne sont que des tasses. Ce ne sont que des outils pour fabriquer et contenir la vie, et le type de tasse que nous avons ne définit pas vraiment, ni ne change la qualité de la vie que vous vivez. Souvent, en ne nous concentrant que sur la tasse, nous échouons à apprécier le café.

Les gens les plus heureux n'ont pas le meilleur de tout... mais ils tirent le meilleur de tout ce qu’ils ont... Alors souvenez-vous : Vivez simplement. Aimez généreusement. Prenez soin avec profondeur. Exprimez-vous avec bienveillance et souvenez-vous aussi : la personne la plus riche n'est pas celle qui a le plus de biens, mais bien celle qui a le moins de besoins... Je vous souhaite un bon café ! »

(photo : Flickr)

2011.07.11

 Salut Baptiste ! Ce sont les vacances…

-   Oui il faut déjà penser à entretenir les fondamentaux…

-   Par exemple ?

-   Lire, écrire, compter… Un exercice très connu et très simple : sept fois douze égale vingt et un..

-   - ???

Je le prouve par une addition une multiplication, une division et la preuve par neuf.

La division :

-      21 / 7 = 12  - une fois 7 ôté de 21 reste 14 –

deux fois 7 = quatorze – reste zéro

La multiplication :

-      12 x 7 = 21 – sept fois deux quatorze, sept fois un , sept et quatorze = vingt et un.

Preuve par neuf : deux et un trois x neuf = 27 – sept + deux = 9

L’erreur est juste !

2011.07.05

Salut Baptiste ! Tu as complété le formulaire ?

-      Tu tombes bien… Tu vas voir comment je vais le faire…

-      C’est une rébellion ?

-      J’ai entendu sur une radio dans une émission drôle, quelqu’un, dont j’ai oublié le nom, raconter que l’on avait très souvent des formulaires à compléter avec des demandes de renseignements superflues et inutiles par rapport à l’objectif que se donne la destination finale du formulaire. Exemple : sur une déclaration de douane à quoi sert d’indiquer votre profession ?

-      Et alors ?

-      Le personnage qui s’exprimait conseillait à chacun de nous de répondre n’importe quoi… Et il précisait qu’il avait lui-même répondu :

o   Profession : vendeur de chaussettes usagées.

o   Situation de famille : Excellente.

Etc… etc…

A propos de Courteline

Lorsque sa notoriété commença à devenir pesante, et que les journalistes venaient l’interviewer trop fréquemment à son goût, il fit imprimer une circulaire destinée à se débarrasser des importuns.

CABINET DE GEORGES COURTELINE

CENTRALISATION DES INTERVIEWS

Monsieur et cher Confrère,

En réponse à votre lettre du………. par laquelle vous voulez bien me demander mon avis à propos de……….

J’ai l’honneur de vous informer que je m’en fous complètement.

Dans l’espoir que la présente vous trouvera de même, je vous prie d’agréer, Monsieur et cher Confrère, l’assurance de mes sentiments les plus dévoués.

Pour M. Georges Courteline

Le Centralisateur général