• "Peut-on être heureux dans un monde malheureux."

    Frédéric Lenoir interviewé par Marc-Olivier Fogiel sur RTL
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    http://www.rtl.fr/emission/rtl-soir/ecouter/l-invite-de-18h35-lundi-29-octobre-frederic-lenoir-et-la-guerison-du-monde-7754067473

     

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    Si vous voulez lire l'histoire de l'arbre à mots, elle sur le lien ci-dessous, car la communauté est sur l'autre blog :

    http://0z.fr/wUiyj

    Et un deuxième, plus "simple" :

    http://0z.fr/qQqvY

     

     

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  • Un moment de détente, et une surprise pour Nicolas Bedos, scotché par "le rentre dedans" de Doria.

     

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    Le célèbre matelas à eau. Mieux vaut le tester avant l’achat.
    Il est pourtant indiqué, à la tête du lit, de ne pas s'y allonger, mais comme toujours...
    C'est le meilleur moyen d'inciter les gens à le faire !

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    Il y a péril en la demeure, / Depuis que les femmes de bonnes moeurs, / Ces trouble-fête, / Jalouses de Manon Lescaut, / Viennent débiter leurs gigots / A la sauvette.

    Ell's ôt'nt le bonhomm' de dessus /La brave horizontal' déçue, / Ell's prenn'nt sa place. / De la bouche au pauvre tapin / Ell's retir'nt le morceau de pain, / C'est dégueulasse.

    En vérité, je vous le dis, / Il y en a plus qu'en Normandie / Il y a de pommes. / Sainte-Mad'lein', protégez-nous, / Le métier de femme ne nou- / rrit plus son homme.

    Y a ces gamines de malheur, / Ces goss's qui, tout en suçant leur / Pouc' de fillette, / Se livrent au détournement / De majeur et, vénalement, / Trouss'nt leur layette.

    Y a ces rombièr's de qualité, / Ces punais's de salon de thé / Qui se prosternent, / Qui, pour redorer leur blason, / Viennent accrocher leur vison / A la lanterne.

    Y a ces p'tit's bourgeoises faux-culs / Qui, d'accord avec leur cocu, / Clerc de notaire, / Au prix de gros vendent leur corps, / Leurs charmes qui fleurent encor / La pomm' de terre.

    Lors, délaissant la fill' de joie, / Le client peut faire son choix / Tout à sa guise, / Et se payer beaucoup moins cher / Des collégienn's, des ménagèr's, / Et des marquises.

    Ajoutez à ça qu'aujourd'hui / La manie de l'acte gratuit / Se développe, / Que des créatur's se font cul- / buter à l'œil et sans calcul. / Ah ! les salopes !

    Ell's ôt'nt le bonhomm' de dessus / La brave horizontal' déçue, / Ell' prenn'nt sa place. / De la bouche au pauvre tapin / Ell's retir'nt le morceau de pain, / C'est dégueulasse

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  • Aurait-il raté ses apprentissages ? 

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    Prince des monte-en-l'air et de la cambriole / Toi qui eus le bon goût de choisir ma maison / Cependant que je colportais mes gaudrioles / En ton honneur j'ai composé cette chanson

    Sache que j'apprécie à sa valeur le geste / Qui te fit bien fermer la porte en repartant / De peur que des rôdeurs n'emportassent le reste / Des voleurs comme il faut c'est rare de ce temps

    Tu ne m'as dérobé que le strict nécessaire / Délaissant dédaigneux l'exécrable portrait / Que l'on m'avait offert à mon anniversaire / Quel bon critique d'art mon salaud tu ferais

    Autre signe indiquant toute absence de tare / Respectueux du brave travailleur tu n'as / Pas cru décent de me priver de ma guitare / Solidarité sainte de l'artisanat

    Pour toutes ces raisons vois-tu, je te pardonne / Sans arrière-pensée après mûr examen / Ce que tu m'as volé, mon vieux, je te le donne / Ça pouvait pas tomber en de meilleures mains

    D'ailleurs moi qui te parle, avec mes chansonnettes / Si je n'avais pas dû rencontrer le succès / J'aurais tout comme toi, pu virer malhonnête / Je serais devenu ton complice, qui sait

    En vendant ton butin, prends garde au marchandage / Ne vas pas tout lâcher en solde au receleurs / Tiens leur la dragée haute en évoquant l'adage / Qui dit que ces gens-là sont pis que les voleurs

    Fort de ce que je n'ai pas sonné les gendarmes / Ne te crois pas du tout tenu de revenir / Ta moindre récidive abolirait le charme / Laisse-moi je t'en prie, sur un bon souvenir

    Monte-en-l'air, mon ami, que mon bien te profite / Que Mercure te préserve de la prison / Et pas trop de remords, d'ailleurs nous sommes quittes / Apres tout ne te dois-je pas une chanson ?

    Post-Scriptum, si le vol est l'art que tu préfères / Ta seule vocation, ton unique talent / Prends donc pignon sur rue, mets-toi dans les affaires / Et tu auras les flics même comme chalands 

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    Une nouvelle sorte d’arnaque.

    Méfiez-vous de celui qui viendra vous dire que vous avez abimé son rétroviseur et qu’un arrangement à l’amiable serait la meilleure solution.

    http://www.sudouest.fr/2012/10/26/cognac-encore-une-anarque-au-retroviseur-861878-882.php

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/02/09/01016-20120209ARTFIG00384-explosion-des-arnaques-au-retroviseur-en-france.php

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    http://www.20minutes.fr/sante/814496-dr-marc-schwob-chronobiologiste-le-changement-dheure-aberration

    INTERVIEW - Irritabilité, infections et troubles du sommeil: le passage à l’heure d’hiver n’est pas sans conséquences sur le corps humain…

    Le docteur Marc Schwob est psychiatre, chronobiologiste et auteur du livre Les rythmes du corps: Chronobiologie de l'alimentation, du sommeil, de la santé... chez Odile Jacob. Contacté par 20Minutes, il parle du passage à l’heure d’hiver du point de vue de la chronobiologie.

    Dans votre ouvrage Les rythmes du corps…, vous qualifiez le passage à l’heure d’hiver et à l’heure d’été d’«aberration». Pourquoi?
    Ce qui est une aberration, c’est que ce changement est cyclique, il a lieu chaque année, deux fois par an. On devrait garder la même heure toute l’année. Cela affecte beaucoup l’être humain, surtout les enfants et les bébés. Cela a un impact sur le système immunitaire, et peut provoquer des petites infections virales.

    Un rapport de la Commission européenne sur le sujet parle de troubles «de courte durée». Qu’en est-il?
    Les troubles sont assez longs chez l’enfant et le petit enfant, ils peuvent durer une semaine. Cela passe par l’irritabilité, le trouble du sommeil ou de l’appétit, les petites infections virales… Avec le changement d’heure, le cortisol (hormone qui agit dans la régulation du rythme biologique, NDLR) sécrété normalement à 5 heures du matin le sera à une heure décalée, pendant une bonne semaine. L’adulte a l’avantage d’avoir des synchroniseurs sociaux, les repas, les horaires de travail, et ne mettra que deux ou trois jours à se remettre du changement d’heure. De plus, à cette époque de l’année, on voit apparaître chez les patients le syndrome de dépression automnale, qui est causé par une baisse de la luminosité. A partir de lundi, ça s’aggravera. C’est une maladie réelle, traitée par la luminothérapie.

    On peut passer une vie entière à «subir» ces changements d’heure. Le corps ne peut-il pas s’y habituer?
    Le corps ne s’habitue pas aux changements d’heure, parce qu’ils sont trop éloignés, il y a six mois entre l’heure d’hiver et l’heure d’été.

    Votre critique du changement d’heure est-elle répandue dans la communauté médicale?
    Ce n’est pas moi qui le dis, c’est l’ensemble des chronobiologistes !

     Propos recueillis par Nicolas Bégasse

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    Après une très brève intro, quelques rappels sur un passé relativement méconnu.

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  • La démocratie dans certains aspects de sa mise en oeuvre.

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    Quelques images qui autorisent à penser que nos élus ne sont pas au-dessus de tous soupçons !

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    A l'ombre des maris.

     

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    Les dragons de vertu n'en prennent pas ombrage / Si j'avais eu l'honneur de commander à bord / A bord du Titanic quand il a fait naufrage / J'aurais crié : "Les femmes adultères d'abord !"

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    Car, pour combler les vœux, calmer la fièvre ardente / Du pauvre solitaire et qui n'est pas de bois / Nulle n'est comparable à l'épouse inconstante. / Femmes de chefs de gare, c'est vous la fleur des bois.

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    Quant à vous, messeigneurs, aimez à votre guise / En ce qui me concerne, ayant un jour compris / Qu'une femme adultère est plus qu'une autre exquise / Je cherche mon bonheur à l'ombre des maris.

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    A l'ombre des maris mais, cela va sans dire / Pas n'importe lesquels, je les trie, les choisis. / Si madame Dupont, d'aventure, m'attire / Il faut que, par surcroît, Dupont me plaise aussi !

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    Il convient que le bougre ait une bonne poire / Sinon, me ravisant, je détale à grands pas / Car je suis difficile et me refuse à boire / Dans le verre d'un monsieur qui ne me revient pas.

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    Ils sont loin mes débuts où, manquant de pratique / Sur des femmes de flics je mis mon dévolu. / Je n'étais pas encore ouvert à l'esthétique. / Cette faute de goût, je ne la commets plus.

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    Oui, je suis tatillon, pointilleux, mais j'estime / Que le mari doit être un gentleman complet  Car on finit tous deux par devenir intimes / A force, à force de se passer le relais

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    Mais si l'on tombe, hélas, sur des maris infâmes / Certains sont si courtois, si bons, si chaleureux / Que même après avoir cessé d'aimer leur femme / On fait encore semblant uniquement pour eux.

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    C'est mon cas ces temps-ci, je suis triste, malade / Quand je dois faire honneur à certaine pécore. / Mais, son mari et moi, c'est Oreste et Pylade / Et, pour garder l'ami, je la cajole encore.

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    Non contente de me déplaire, elle me trompe / Et les jours où, furieux, voulant tout mettre à bas / Je crie : "La coupe est pleine, il est temps que je rompe !" / Le mari me supplie : "Non ne me quittez pas !"

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    Et je reste, et, tous deux, ensemble on se flagorne. / Moi, je lui dis : "C'est vous mon cocu préféré." / Il me réplique alors : "Entre toutes mes cornes / Celles que je vous dois, mon cher, me sont sacrées."

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère / Je suis derrière...

    Et je reste et, parfois, lorsque cette pimbêche / S'attarde en compagnie de son nouvel amant / Que la nurse est sortie, le mari à la pêche / C'est moi, pauvre de moi, qui garde les enfants.

    Ne jetez pas la pierre à la femme adultère.

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  • L'arc en ciel de Brassens.

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    Poursuivant ma quète aux chansons de Brassens les moins connues, voici : "l'arc en ciel d'un quart d'heure".

    Malheureusement je n'ai pas trouvé d'enregistrement de G.B.

    Il semblerait que si c'est bien G.B. qui a écrit le texte, il ne l'ait pas mis en musique ?

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    Cet arc-en-ciel qui nous étonne, /  Quand il se lève après la pluie, / S'il insiste, il fait monotone / Et l'on se détourne de lui. /  L'adage a raison : la meilleure / Chose en traînant se dévalue. /  L'arc-en-ciel qui dure un quart d'heure / Personne ne l'admire plus. /  L'arc-en-ciel qui dure un quart d'heure / Est superflu.

    Celui que l'aura populaire / Avait mis au gouvernail quand / Il fallait sauver la galère / En détresse dans l'ouragan, / Passé péril en la demeure, / Ne fut même pas réélu. / L'arc-en-ciel qui dure un quart d'heure / Personne ne l'admire plus. / L'arc-en-ciel qui dure un quart d'heure / Est superflu.

    Cette adorable créature / Me répétait : "je t'aime tant / Qu'à ta mort, sur ta sépulture, / Je me brûle vive à l'instant !" / A mon décès, l'ordonnateur(e) / Des pompes funèbres lui plut. / L'arc-en-ciel qui dure un quart d'heure / Personne ne l'admire plus. / L'arc-en-ciel qui dure un quart d'heure / Est superflu.

    Ce cabotin naguère illustre, / Et que la foule applaudissait / A tout rompre durant trois lustres, / Nul à présent ne sait qui c'est ; / Aucune lueur ne demeure / De son étoile révolue. / L'arc-en-ciel qui dure un quart d'heure / Personne ne l'admire plus. / L'arc-en-ciel qui dure un quart d'heure / Est superflu.

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  • S'il ne sait pas faire autre chose...

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    Ne pourrait-il pas se passer d’elle ?

    Ne pourrait-il pas lui proposer autre chose ?

    Que fait-elle finalement sur cette table ?

    Cela lui rend-t-il service ou constitue-t-il une gêne ?

    Beaucoup de questions qui demeurent en suspens …

    Mais si vous voulez savoir comment il la contourne et il la saute (avec les boules)

    Faites un clic sur la boule :

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  • Dépassements... Salut Baptiste ! Que penses-tu des dépassements d’honoraires ?

    -       Tout cela est bien compliqué, car il faut prendre la question dans son ensemble.

    -       C’est-à-dire ?

    -       Notre médecine est dite libérale, mais en réalité il existe un pot commun dans lequel les cotisants versent leur dime, et indirectement les médecins sont payés avec cette « cagnotte » à des taux fixés.

    -       Evidemment, lorsqu’ils font un dépassement d’honoraire c’est différent, le patient paie sans passer par la caisse « sécu » !

    -       Là il y a aussi des choses à revoir puisque, selon d’éminents professeurs, nous consommons 50% de médicaments inutiles - dont 5% seraient dangereux - et tout cela remboursé par la sécu. Nous pourrions parait-il réaliser jusqu’à quinze milliards d’économie.

    (http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/sante/un-medicament-sur-deux-est-inutile-affirment-les-medecins-even-et-debre_1160409.html )

    -       C’est un comble. Comment faire ?

    -       En plus, actuellement, ceux qui ne se font pas soigner par manque de moyens ne sont pas les plus pauvres qui eux bénéficient de la CMU, mais ceux qui n’y ont pas droit car ils sont au-dessus du plafond pour en bénéficier, mais n’ont pas les moyens de financer une mutuelle.
    Par ailleurs, très souvent du fait qu’il est mal payé (si on le compare à d’autres professions), le médecin « expédie » sa consultation en prescrivant quelques médicaments et hop, le patient repart satisfait – même si au final il n’a pas été très bien « soigné », et le médecin trouve sa compensation en recevant plus de patient en un minimum de temps.

    Alors que, me semble-t-il, il serait préférable pour tous que le médecin mieux payé à la consultation réserve plus de temps à l’écoute et à l’examen du patient, lui prodigue des conseils éclairés sans lui prescrire à chaque fois des médicaments inutiles qui trouent la sécu en même temps que les intestins du malade.

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  • Si vous êtes perdu(e) cliquez sur ce lien : (ensuite il faudra quand même saisir votre adresse – dans n’importe quel sens - et vous verrez votre lieu d'habitation du ciel et de face.)

    http://showmystreet.com/

     

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    Un poème d'Antoine Pol. Mis en musique et interprété par Georges Brassens en 1972.

     

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    Je veux dédier ce poème / A toutes les femmes qu'on aime / Pendant quelques instants secrets / A celles qu'on connait à peine / Qu'un destin différent entraîne / Et qu'on ne retrouve jamais

    A celle qu'on voit apparaître / Une seconde à sa fenêtre / Et qui, preste, s'évanouit / Mais dont la svelte silhouette / Est si gracieuse et fluette / Qu'on en demeure épanoui

    A la compagne de voyage / Dont les yeux, charmant paysage / Font paraître court le chemin / Qu'on est seul, peut-être, à comprendre / Et qu'on laisse pourtant descendre / Sans avoir effleuré sa main

    A la fine et souple valseuse / Qui vous sembla triste et nerveuse / Par une nuit de carnaval / Qui voulut rester inconnue / Et qui n'est jamais revenue / Tournoyer dans un autre bal

    A celles qui sont déjà prises / Et qui, vivant des heures grises / Près d'un être trop différent / Vous ont, inutile folie, / Laissé voir la mélancolie / D'un avenir désespérant

    Chères images aperçues / Espérances d'un jour déçues / Vous serez dans l'oubli demain / Pour peu que le bonheur survienne / Il est rare qu'on se souvienne / Des épisodes du chemin

    Mais si l'on a manqué sa vie / On songe avec un peu d'envie / A tous ces bonheurs entrevus / Aux baisers qu'on n'osa pas prendre /Aux cœurs qui doivent vous attendre / Aux yeux qu'on n'a jamais revus

    Alors, aux soirs de lassitude / Tout en peuplant sa solitude / Des fantômes du souvenir / On pleure les lèvres absentes / De toutes ces belles passantes / Que l'on n'a pas su retenir

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