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ENTERREMENT DE 2012

Du comique de situation lors d'un enterrement et une lecture de la pensée et des arrières pensées, avec en plus Laspalès et Chevalier

Clic sur la photo des Vamps :

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Une petite pause avant l'an neuf !
Que la santé soit avec vous pour gérer ces proches excès.

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Une musique différente chaque jour :

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Quand tout vous énerve, quand la politique, les fêtes, les invitations, l’idée de recevoir ceux qui viendront, l’idée de ne pas voir ceux qui ne viendront pas, la perspective de devoir ingurgiter des repas copieux arrosés de vins capiteux ; quand vous sentez que vous ne métrisez plus et que finalement, tous les paramètres - en problèmes humains, matériels et alimentaires – créent une situation qui vous échappe, faites un clic sur la terre ci-contre, elle recèle un menu et chaque page vous donne accès à d’autres liens que vous découvrirez en promenant la souris sur les diverses représentations que l’on voit. Alors vous comprendrez que tout ce qui se passe dans votre salon, votre salle à manger, ou même dans la cuvette - si vous avez présumé de la capacité de votre estomac - n’a pas une importance capitale eu égard à l’univers… aux milliards d’années qui nous précèdent et aux milliards qui vont suivre…

Joyeuses fêtes.

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Où en sommes-nous à propos du saumon d'élevage ? Il y a moins d'un an un reportage de FR 3 relatait des élevages aux pesticides.

Vidéo : clic sur le poisson

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Pour mieux les connaître - même si c'est un peu tard - un dialogue entre Brassens et Ferrat.

Clic sur l'image pour y assister :

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Encore Depardieu dit Gégé :

Dans les brèves de bistrot il y a ceux qui disent : « à sa place je ferais pareil », sauf que ce n’est pas demain la veille qu’ils sont à sa place, et il y a les autres.

Parmi les autres on trouve d’autres acteurs ou comédiens dont Philippe Torréton, qui signe une tribune dans Libération.

Extrait du Sud-Ouest ci-dessous :

http://www.sudouest.fr/2012/12/18/exil-fiscal-de-depardieu-philippe-torreton-lui-dit-ses-quatre-verites-et-adieu-912458-4690.php

Et ici sur France Info à partir de la troisième minute :

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Si vous cherchez un spécialiste des cocktails,

il est dans les bouteilles :

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Une façon ludique de repérer la localisation des villes de France.

Pour jouer clic sur la carte :

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Clic sur la photo :  

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La circulation automobile n'est pas toujours très sûre !

Ici quelques problèmes relevés en Russie.

Clic sur les voitures :

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Wikipédia

C'est parce que chacun est libre que je donne mon avis.

Il ne se passe pas une journée sans que je consulte wikipédia. Une date de naissance, une biographie, un nom, une confirmation quelconque… Bien sûr j’entends ici ou là que ce n’est pas une encyclopédie comme les grandes institutions telles que Larousse et compagnie, bien sûr les définitions ne sont pas rédigées par des académiciens… Mais à chaque fois je me dis : « si je devais grimper dans la voiture et me rendre à la bibliothèque municipale, souscrire un abonnement, attendre mon tour, consulter le document, le rendre et revenir… ». Je mesure alors le service que me rend wikipédia et j’imagine que son absence me manquerait.

 Ainsi, chaque chaque année, je donne ma contribution (pour répondre à la demande qui apparait en ce moment en en-tête). Je ne sais pas ce qu’elle devient, mais je suis persuadé que cette « cotisation » est infiniment minime par rapport à la dépense que provoquerait la disparition de wikipédia pour chacun des utilisateurs.

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Même les mauvais en puzzle (ce qui est mon cas) peuvent parvenir à tout placer très rapidement.

Clic sur la tête ci-contre :

(Un son ponctue la bonne position de chaque pièce et des applaudissements confirment la réussite  !)

Dommage que je n'ai pas trouvé d'interprétation par Georges Brassens, qui a écrit ce texte mais ne l'a probablement jamais enregistré.

Le recueil "Georges Brassens poèmes et chansons" Editions du Seuil 1993, précise : paroles sans musique.

Elle est interprétée par Joël Favreau, qui a été le guitariste de G.B.. On peut voir, dans la vidéo tout en bas, GB présenter ce collaborateur en termes élogieux lors d'une émission de  Pierre Tchernia.

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Je bivouaque au pays de Cocagne

Une rue sans joie où les sbires / Tout seuls ne s'aventurent pas, / Un coupe-gorge et même pire, / La venelle où traînaient mes pas ! / Mais j'avais mangé du poète, / Je marchais un peu sur la tête, / Et cett' rue je l'ai traversée / Comm' l'avenue des Champs-Élysées.

 (Refrain)

Je bivouaque au / Pays de Co - / cagne depuis / Que j'ai bouté / La vérité / Au fond du puits.

Beauté du diable et qui n'inspire / Pas l'envie d'aller en sabbat, / Epouvantail et même pire, / La fille m'offrant ses appas ! / Mais j'avais mangé du poète, / Je marchais un peu sur la tête, / Et j'ai changé cette petite / En une Vénus Aphrodite.

(Refrain)

Quatre anges déchus qui soupirent / Si peu qu'on ne les entend pas, / Jamais étreinte ne fut pire, /Jamais amour vola si bas ! / Mais j'avais mangé du poète, / Je marchais un peu sur la tête, / Et quittant doucement la terre / Je fus à bon port à Cythère.

(Refrain) 

Salut Baptiste ! Pourquoi tant de silence ?

-       La parole est d’argent, mais le silence est d’or.

-       A part ça ?

-       Que peut-on dire ? Le chantier est énorme... Les entreprises qui licencient, le chômage qui progresse, l’Europe qui s’enlise (on le savait depuis longtemps), les pauvres qui se gèlent, le « pouvoir » qui ne peut rien, et cependant  nous fait croire qu'il peut beaucoup lors de chaque échéance électorale, les financiers qui gouvernent en douce et se sucrent largement au passage, les incompétences qui se généralisent un peu partout, la dette dont tout le monde fait semblant de se préoccuper et dont on se fout complètement ; et peut-être - plus vite que l’on imagine - la direction du monde dans les mains de la Chine ?

-       Compliqué non ? Les Mayas avaient-ils prévu tout ça ?

-       C’est la vie sur la belle planète bleue… Pourvu que ça dure…